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Texte d'information proposé en envoi ciblé et personnalisé
à propos d'une émission musicale à la radio ou à la TV |
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Messieurs, Mesdames
Le [jour mois] prochain aura lieu le concert / récital XXX XXX avec M. Mlle yyy YYY-ian dans le cadre du Festival ZZZ etc. : http://www....
M. Mlle yyy YYY-ian étant d'origine arménienne, c'est une occasion de rappeler la musique arménienne, sa beauté et son histoire http://www.globalarmenianheritage-adic.fr/fr/5culture/musique/1_histoire.htm et dire notamment, qu'il y a une certaine tradition en France d'avoir des musiciens arméniens en relation avec de grands musiciens. Ainsi par exemple à Paris,
- Frédéric Chopin eut un élève arménien Karl Mikouli (1821-1897) : http://www.globalarmenianheritage-adic.fr/fr/5culture/musique/mikuli.htm - Liszt de même a eu son élève arménien Stépan ELMAS (1862-1937) http://www.globalarmenianheritage-adic.fr/fr/5culture/musique/stepan_elmas.htm - le chanteur russe Féodor Chaliapine a eu des partenaires arméniens en France : http://www.globalarmenianheritage-adic.fr/fr/5culture/musique/chaliapine.htm
- le compositeur Vincent d'Indy s'est intéressé personnellement à la musique arménienne http://www.globalarmenianheritage-adic.fr/fr/5culture/musique/8_groung1.htm
- l'ancien secrétaire général de l'Opéra de Paris, Louis Laloy (1874-1944) http://www.larousse.fr/encyclopedie/musdico/Laloy/168131 écrit un article élogieux dans le Mercure musical du 15.XII.1906 sur le récital du musicien le Père Komitas. Ce récital eut lieu à la Salle Gaveau de Paris où il fut apprécié aussi par Ravel et Debussy http://www.globalarmenianheritage-adic.fr/fr/5culture/musique/2_0komitas.htm
- les musicologues le Père Pierre Aubry (1874-1910) et M. Amédée Gastoué (1873-1943) ont étudié la musique arménienne http://www.globalarmenianheritage-adic.fr/fr/5culture/musique/2_erevan1995.htm - http://www.globalarmenianheritage-adic.fr/fr/5culture/musique/gastoue.htm Pour terminer, on ne peut manquer de signaler l'histoire émouvante du Père Komitas (1869-1935). Très tôt orphelin, le jeune séminariste est remarqué comme très doué pour la musique. Il fut envoyé à Berlin pour y étudier la musicologie(1896-99). De retour en Arménie, il est allé dans les campagnes transcrire les chansons populaires -comme Béla Bartók l'a fait pour les chansons hongroises. Mais sa carrière musicale fut interrompue brutalement. Le Père Komitas fut arrêté dans la nuit du 24 avril 1915 par la police turque à Constantinople avec les poètes, les intellectuels, les notables, les avocats et les députés arméniens de la capitale ottomane. Envoyé à la mort avec les autres, la providence en décida autrement -étant apprécié pour ses talents musicaux, il fut rappelé dans la capitale. Cependant victime de tortures et d'exactions, témoin des déshumanisations du Génocide qui commençait en 1915, il en perdit la raison. Après la guerre, il fut envoyé à Paris pour y être soigné mais sans succès. Interné d'abord à l'Hopital Ville-Evrard à Neuilly sur Marne, le Père Komitas décèdera à l'Hopital psychiâtrique de Villejuif. Un buste inauguré en 1995 se trouve dans les jardins de cet hopital y commémorant son souvenir vénéré que perpétue sa musique.
Avec mes sincères salutations. . Votre prénom NOM et ville dans le cas d'un message ciblé et personnalisé à un site musical
Copies à :
- M. Mlle yyy YYY, musicien-musicienne en question. http://www....
- Direction de la musique au Ministère de la Culture : http://www.culture.fr/fr/sections/themes/musique |
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