- Joseph Kessel : Je me souviens très bien que, même dans l'horreur
de la Première Guerre mondiale, la tragédie arménienne de 1915 a soulevé
en moi une profonde émotion. Le mot génocide n'avait pas encore cours
à cette époque, mais j'ai senti alors tout ce qu'il a signifié plus
tard. Joseph Kessel, de l'Académie française, le 24 avril 1975 (Le 24 avril 1975 . Site Imprescriptible)
- Raphael Lemkin
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- Max Jacob : Fiche ADIC -
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