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La Guerre de Crimée (1853-56), les turcs et les arméniens |
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Recherches Arsène Tchakerian : Témoignage du Sergent Dominique Cotoni (1831-1880)
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- ...Des soldats montaient la faction aux portes de ces pauvres familles désolées. Ils étaient leurs défenseurs, la sauvegarde des jeunes filles contre nos propres alliés.
Cette courte expédition a suffi pour mettre à tout jamais les turques dans une isolation complète.
Ils ont violé des jeunes des jeunes demoiselles et après avoir contenté leur ignoble passion, ils ont eu la barbarie de leur couper les mamelles.
Ça me saigne d'effroi et les misérables ont expié leur crime par le feu de nos armes et cela militairement !
C'est un peuple ignoble, indigne de prendre part à la guerre que nous faisons, car depuis qu'ils sont en Crimée, ils n'ont pas encore brûlé une cartouche.
On les condidère comme des sauvages.
- Le Sergent Dominique Cotoni né en Corse, 1831-1880 - de la garde impériale - Sébastopol 29 juin 1855,
- 42ème régiment de ligne - 2èmes bataillon - 2ème compagnie
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