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Edouard Galoustian




né le 16 novembre 1926 - mort le 21 janvier 1945
- Front d'Alsace -
 
Participe à la libération
de Villeurbanne et de Lyon.
Il y perd un doigt.
[nom au Monument aux Morts . 69 LONGESSAIGNE]

Versé dans la 1ére Armée Française,
il est envoyé en Alsace
où il est tué le 21 janvier à Lufterbach. 

[Carré militaire - Cimetière nord - 92 Clichy]
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[Documentation : Dzovinar Melkonian]

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– Jo Avakian (à gauche) –
7 Août 1926 - 30 août 1944 – Ste Consorbe (Rhône)

  • Aîné de 5 enfants et soutien de famille, à l'insu de ses parents part au maquis. Le camion dans lequel il se trouve est attaqué par méprise par des avionss américains. Sur 35 jeunes maquisards, 30 dont Jo Avakian, y trouvent la mort. [F.F.I. 1°Rgt du Rhône]

– Edgar Bedikian (à droite) –
22 octobre 1923 - 19 mars 1944 Montchal (Loire)

  • Edgar Bedikian est arrêté chez lui le 15 décembre 1943. Il saute du train, près de Paris, revient à Lyon sans aucun papier. Rejoint le maquis, le 22 janvier 1944. Le 19 mars, à Montchal, il est tué avec quatre camarades, lors de l'attaque d'une trentaine de "terroristes" par 500 G. M. R. [Nécropole Nationale de la Doua. 69 Villerbanne] - Plaque à 42360 Montchal








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Jean Berbatian (à gauche)
(1926 ? - 1944)

  • Printemps 1944, Jean Berbatian transporte et distribue des tracts anti-nazi. Arrêté très vite, dés  le 25 mai par la gestapo, il est enfermé à Montluc. Sans trahir jamais  durant les 54 jours qu'il y passe  malgré les pires souffrances, il est fusillé, en même temps que 50 de ses glorieux camarades, le 2 juillet à Châtillon-d'Azergues. Il repose au cimetière de Vienne où l'on peut lire, sur sa tombe, "Mort à 18 ans pour sa patrie et pour la liberté".

André Kapamadjian (à droite)
(1928 ? - 1944)

  • En 1944, âgé de 16 ans, il entre dans le maquis à la compagnie Stalingrad. Il est le plus jeune membre du groupe et le seul arménien. Le 30 août, après de nombreuses interventions,  il est envoyé en mission à Sutun avec un de ses compagnons. Et c'est là qu'il trouvera la mort. Livré aux mains de la gestapo, il retourne son arme contre lui-même pour échapper à la torture qui l'attend. Après sa mort les allemands le pendront par les pieds pendant douze jours jusqu'à ce qu'un avion parvienne, en rase-motte, à rompre la corde. Enterré sur place par les habitants, son corps sera transféré, à la libération, au Creusot, où il repose.    
  • André Kapamadjian faisait partie de la "Compagnie Stalingrad" -selon Memorial Gen-Web). Sa tombe, à l'intercection de deux routes à Fontaine-la-Mère - Musée de la Résistance du Morvan à 58230 Saint-Brisson.
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