- www à introduire dans la page :
http://bc.ub.leidenuniv.nl/bc/olg/selec/armeniennes/inhoud.html
http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/manuscrits/ARMENIENS/DEFAULT.HTM
http://poj.peeters-leuven.be/content.php?url=article&id=525843&journal_code=MUS
http://www.coe.int/t/f/coop%E9ration_culturelle/patrimoine/jep/jep_2005/Armenie.asp
http://www.netarmenie.com/culture/annexes/blibliotheq.php
http://portal.unesco.org/ci/fr/ev.php-URL_ID=3951&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201.html
http://www.bdnancy.fr/armenie.htm (fonds du cardinal Tisserant qui contribua à former la Légion d'Orient et ses volontaires arméniens venus du monde entier)
http://maubkn.imingo.net/armenie2/manus.htm
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Aram Kerovpyan (EPHE)
Les manuscrits de chant arméniens
Les manuscrits présentés comprennent à la fois ceux qui sont entièrement neumés, utilisés au cours des offices, et les divers manuscrits de livres rituels ayant des parties neumées. Aucun manuscrit proprement dit « théorique » n’a été découvert à ce jour ; tous sont des livres « pratiques » destinés à être utilisés au cours des offices. Si nous prenons comme référence la collection principale qui se trouve à l’Institut Mesrop Machtots de Yerevan, les manuscrits musicaux représentent environ dix pour cent de la collection. On peut généraliser cette proportion, ce qui nous donne un chiffre d’environ 1500-1700 manuscrits musicaux.
Un très grand nombre de manuscrits arméniens ont été détruits au cours de l’histoire, notamment au cours du génocide des Arméniens en 1915-1916. De ce fait, en dehors de quelques fragments, nous ne possédons pas de manuscrits antérieurs au xiie siècle. La notation neumatique arménienne, bien maîtrisée dans les couvents jusqu’au xviie siècle, se trouve dans ces manuscrits à de différents niveaux de complexité, et l’on y observe également, du point de vue de leur qualité, d’importantes différences. Mes exemples traiteront quelques-uns de ces aspects.
Source : http://aedilis.irht.cnrs.fr/liturgie/08.htm#kerovpyan
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