Biblio-iconographical Research : Nil V. Agopoff (Paris)







Հայերը Հեռավոր Արևելքում
. . . . . . .
Short History of the Armenians
in Far East Asian Countries
Pr. A.G. Aprahamian, Short History of Armenian Diaspora
HAYASDAN Editors
Yerevan 1964 & 1967
Summaries in English planned - Résumés en français prévus

  • Indonesia - Ինդոնեզահայ գաղթավայրը : Volume II, pp 293-312
    - Summaries in French
    (planned) and in English (planned)
    - Тер-Мкртчян, Л. and Геокчян, А. Армяне в Индонезии. Պատմաբանասիրական հանդես, 1963-III, pp. 313-316

  • Philippines Ֆիլիպին Volume II, pp 322-325
    - Armenians in the Philippines

  • China Հայերը Չինաստանում Volume II, pp 326-333 (planned)
    - Summaries in French (planned) and in English (planned)
    -
    Relations arméno-chinoises - Պատմաբանասիրական հանդես 1976-IV . pp.203-212 Սվազյան, Հ. Ս. (1976) Ճեները և «Ճենաց աշխարհը» ըստ հայկական աղբյուրների. Page ADIC des références bibliographiques (prévues d'être transcrites) -

Les Arméniens en Birmanie et en Indonésie
Revue Krounk,N°5, p28, 1981 ( Erévan)

  • Les Arméniens se sont fixés en Birmanie au XVI siècle. En 1545, dans la grande ville d'Ava de ce pays, les miltaires arméniens occupaient de hauts postes dans la garnison du Palais de Pavo II.

    Le voyageur S. Master qui a visité la Birmanie en 1675-1680, temoigne que le commerce de rubis de toute la Birmanie se trouvait entre les mains des Arméniens de Pégou.

    Vers le milieu du XVIII siècle, le Khodja Grigor Aïvazian jouissait d'une grande autorité à la cour birmane. En 1759, il dirigea le combat des Birmans contre les colonisateurs anglais.

    Au début du XIX siecle, les Arméniens de Birmanie pratiquaient le raffinage et l'exportation du pétrole extraits des gisements de Birmanie.

    Les bateaux des commerçants arméniens de Birmanie "Haik", "Ararat", "Tigrane", "Djougha", etc., etc. Hovsep Manoukian, dit "Capitaine Manouk", était connu dans tout l'Orient et était considéré comme un des marins les plus habiles. Les services qu'il rendit étaient si considérables que le gouvernement birman lui conféra deux grands titres : ceux de "Mahabavaza" (prince) et de "Radja" (chevalier).


  • Vers le milieu du XIXème siècle quand la lutte pour la libération et l'indépendance embrasse Zeytoun, Van, Mouch et autres régions de l'Arménie occidentale, les Arméniens d'Indonésie lancent un appel pour le "soutien de cette lutte libératrice". En 1862, après l'inserruction de Zeytoun, ils réunissent quelques milliers de francs qu'ils font parvenir à leurs compatriotes, par l'intermédiaire du journal "Paris".

    En 1894, dans l'intention de secourir les rescapés du massacre de Sassoun, une quête est organisée au sein de la colonie, qui permet de réunir une somme de 8.000 guldens.

    Au lendemain du génocide de 1915, une somme de cent mille guldens fut collectée au profit des déportés arméniens.

  • Paulus (P.), Short history of the Armenian communities in the Netherlands India, Batavia, 1935, In-8 16 p.


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