Judaïsme, personnalités et historiens juifs :
reconnaissances du génocide arménien & publications

A l'époque de 1915

En Israël



  • Opposition leader slams Peres comments on Armenians massacre by Turks


  • Yossi Sarid, qui était ministre de L'éducation en Avril 2000, voulait qu'on apprenne l'histoire du génocide arménien dans les écoles israéliennes :

    "Today in Israel very few youngsters have heard about Musa Dagh, very few know about the Armenian Genocide. I know how important the position of the Jews, and especially the attitude of the State of Israel to your genocide, are for Armenians in the world. As Minister of Education of the State of Israel, I will do whatever is in my capacity in order that this monumental work The Forty Days of Musa Dagh is once more well known to our children. I will do everything in order that Israeli children learn and know about the Armenian Genocide."
    The Whole Statement Of Yossi Sarid


  • The Dark World of the Armenians by Rabbi Matthew Berkowitz (September 22, 2003) The Jerusalem Report

  • Nothing Personal / Among the deniers by Thomas O'Dwyer (Haaretz.com) - Traduction française

  • Waiting for the denial to end, Dalia Shehori, Haaretz.com, Sun., April 17, 2005

  • Elie Wiesel, prix Nobel de la paix et survivant d'Auschwitz-Birkenau, dans une préface du livre de Werfel :

    « Qu'il relève du domaine de l'imaginaire ou de celui de la mémoire, ce roman est un chef-d'œuvre. Je l'ai lu après la Libération. J'avais vingt ans. Je viens de le relire J'y retrouve la puissance d'évocation et la conscience blessée qui, à l'époque, m'avaient bouleversé jusqu'au tréfonds de mon être.
    Cette communauté villageoise arménienne, condamnée par les convulsions d'une histoire qui la dépasse, m'est devenue proche. Guettée par la mort, elle revendique sa liberté. Assiégée par un ennemi impitoyable, trahie par une société indifférente, elle choisit la résistance armée. Pour sauver l'honneur arménien ? Pour sauver l'honneur de l'homme.

    On comprend les mobiles qui poussèrent Franz Werfel à s'intéresser à cette tragédie. Juif autrichien, réfugié en quête d'exil, il ne pouvait pas ne pas s'émouvoir du destin farouche qui, depuis des siècles, semblait poursuivre le peuple arménien sur sa route à la fois ensoleillée et endeuillée.

    [...]
    Dans sa dispersion, le peuple arménien, comme le peuple juif, s'intègre sans s'assimiler, se veut attaché à sa langue, à sa culture, à ses traditions, en d'autres termes : à son identité ethnique et nationale aussi bien qu'à sa foi.
    Frappantes, ces correspondances; on les retrouve jusque dans leurs martyres. Ecrit avant l'avènement du régime hitlérien en Allemagne, ce roman semble préfigurer l'avenir. »


  • 21 novembre 2005 : le Grand Rabbin d'Israël Jonah Metzger en Arménie (en préparation)

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Recherche bibliographique et sur web : Nil Agopoff

à compléter