Le voyage du Pape Benoit XVI
en Turquie
et
questionnement à propos de
son omission
sur le négationnisme du Génocide arménien
par l'Etat turc :
un voyage pastoral dans le cadre
du dialogue islamo-chrétien
ou
d'un dialogue entre
le catholicisme romain-germaniste
et le laïcisme turco-kémaliste ?
Benoît XVI : le pape révisionniste.
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Benoit XVI et Ali Bardakoglou
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1/ Echos du monde arménien et arménophile
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2/ Echos du monde politico-médiatique turc
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3/ Echos politico-médiatiques dans les pays musulmans
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4/ Echos dans les milieux chrétiens et musulmans non-turcs en Orient
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5/ Echos dans les milieux catholiques et chrétiens non-catholiques en Occident
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6/ Echos politico-médiatiques en Occident
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1/ Echos du monde arménien
et des tenants de la reconnaissance du Génocide arménien
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2/ Echos du monde politico-médiatique turc
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3/ Echos politico-médiatiques dans les pays musulmans
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4/ Echos dans les milieux chrétiens et musulmans non-turcs
au Maghreb et en Orient
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5/ Echos dans les milieux catholiques
et chrétiens non-catholiques en Occident
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6/ Echos politico-médiatiques en Occident
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Notes de lectures
- il s’agit d’un voyage pastoral et non politique, dont le but est le dialogue et un engagement commun en faveur de la paix.
- discours du pape à Ankara :
. Le meilleur moyen pour aller de l’avant est celui d’un dialogue authentique entre chrétiens et musulmans, fondé sur la vérité et inspiré d’un désir sincère de nous connaître mieux les uns les autres, en respectant nos différences et en reconnaissant tout ce que nous avons en commun. Cela doit nous conduire à un respect authentique à l’égard des choix responsables que chaque personne pose, spécialement ceux qui touchent aux valeurs fondamentales et aux convictions religieuses personnelles
- discours au corps diplomatique :
« la paix n’est pas une pure absence de guerre et qu’elle ne se borne pas seulement à assurer l’équilibre de forces adverses », mais qu’elle « est le fruit d’un ordre inscrit dans la société humaine par son divin fondateur, et qui doit être réalisé par des hommes qui ne cessent d’accéder à une justice plus parfaite » (Gaudium et spes, n. 78). Nous avons en effet appris que la véritable paix a besoin de la justice pour corriger les déséquilibres économiques et les désordres politiques qui sont toujours des facteurs de tensions et de menaces dans toute société
- un régime laïque, avec une claire distinction entre la société civile et la religion, chacune étant autonome dans son propre domaine tout en respectant la sphère de l’autre
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, « nous avons impérativement besoin d’un dialogue authentique entre les religions et entre les cultures, capable de nous aider à surmonter ensemble toutes les tensions, dans un esprit de collaboration fructueuse » (Discours aux ambassadeurs des pays musulmans, Castel Gandolfo, 25 septembre 2006). Ce dialogue doit permettre aux différentes religions d’arriver à mieux se connaître l’une l’autre, dans le but de travailler à la réalisation des plus nobles aspirations de l’homme, dans la recherche de Dieu et la recherche du bonheur.
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L’Église, vous le savez, a reçu de son Fondateur une mission spirituelle
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elle souhaite faire entendre sa voix dans le concert des nations, afin que soit toujours honorée la dignité fondamentale de l’homme, et spécialement des plus faibles
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dignité humaine au cœur de nos préoccupations
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