I/ Demandes du Président de la République, M. Jacques CHIRAC
concernant la Mémoire de la colonisation et de l'Outre-Mer
Conséquences politico-médiatiques
  • I/ Demandes du Président de la République, M. Jacques Chirac
  • II/ Les Lois
  • III/ Mise en place offcielle
  • IV/ Les medias
  • V/ Déclarations et débats contre la Loi du 23 Février 2005 ("les bienfaits" de la colonisation)
  • VI/ Déclarations et débats en faveur de la Loi du 23 Février 2005
  • VII/ Déclarations et débats contre "l'écriture de l'Histoire par le Parlement"
  • VIII/ Mémoire(s) de la traite négrière, de l'esclavage et de la colonisation
  • IX/ Mémoire(s) comparée(s)
    du Génocide arménien de 1915
  • X/ Pages et sites www concernés par l'Information citoyenne sur le Génocide arménien de 1915 et son déni
  • au Président de l'Assemblée Nationale qui a accepté de constituer une mission pluraliste pour évaluer l'action du Parlement dans les domaines de la mémoire et de l'histoire

  • au Gouvernement que la Fondation sur la mémoire prévue par l'article 3 de la loi du 23 février 2005 soit créée dans les meilleurs délais et qu'elle soit dotée des moyens nécessaires à son bon fonctionnement.
Le Président de la République - La Constitution francaise - Le Conseil constitutionnel -
- L'Assemblée nationale - Le Premier Ministre - Haut Conseil à l'intégration -
-
Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité [(*1)] - [(*2)] - [(*3)] - -

II/ LES LOIS

II.B/ La Loi du 23 Février 2005
  • Assemblée nationale : le rapport . débats . séances . amendements . votes . le texte
  • Sénat : le rapport . débats . séances . amendements . votes . le texte

     

II.C/ La Loi Taubira sur la Traite négrière et l'esclavage


III/ MISE EN PLACE OFFICIELLE

A/ La mission pluraliste parlementaire

  • Composition

 

B/ la Fondation sur la mémoire


C/ Partis politiques

  • Partis politiques de droite
  • Partis politques de gauche

D/ Analyses des associations d'origine coloniale


IV/ LES MEDIAS

Télévisions et Radios

  • Conseil Supérieur de l'Audiovisuel CSA -
  • TV, satellite & chaines cablées :
    Diverses listes de links : Sat-Address - IPLJ - France télévisions
    - TF1 - 1, quai du point-du-jour 92656 Boulogne cedex Tel : 01 41 41 12 34 / 0803 809 810 - Fax : 01 41 41 28 40
    - France 2, mediateurinfo@france2.fr - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15 Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 98 74 mediateurinfo@france2.fr
    - France 3, Médiateur : mediateurinfo@france3.fr - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15 Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 75 02
    - France 5 Alain Le Garrec, médiateur des programmes sur : http://www.france5.fr/contact/W00069/2/71909.cfm
    - www.arte-tv.com Email : communication@arte-tv.com
    - TV5
    - Canal + - 85-89 quai André Citroën 75711 Paris cedex 15 Tel : 01 44 25 10 00 Fax : 01 44 25 12 34
    - La Cinquième - 8, rue Marceau 92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9 Tel : 01 55 00 74 74 - Fax : 01 55 00 77 00
    - Jerome Clément, PDG de ARTE : jeromeclem@hotmail.com ou communication@arte-tv.com - 2a rue de la Fonderie 67080 Strasbourg cedex Tel : 03 88 14 22 55 - Fax : 03 88 14 22 00
    - M6 - - 89, av. Charles de Gaulle 92575 Neuilly/Seine cedex Tel : 0825 06 66 66 - Fax : 01 41 92 66 10
    - I-Télévision - 6 allée de la Deuxième DB 75015 Paris Tel : 01 53 91 50 00- Fax : 01 53 91 50 01

    - LCI : 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedex Tel : 01 41 41 23 45- Fax : 01 41 41 38 50
    - Les émissions de LCI : Presse Hebdo - L'invité du Matin - Question d'Actu - Ferry/Julliard - Le Monde des Idées - 100% politique - Le Grand Jury -
    LCI : les coups de coeur des libraires
    - France ô TV cablée

  • Radios

    = Les Portails, syndicats, Associations, etc. :
    Yahoo : Diffusion sur Internet - Stations - Annuaire de la Radio - Auditeurs de France Culture -

    = Radios nationales :
    Radio France
    - France Inter - France Musiques - France Culture - France Info - FIP - France Bleu - Le Mouv' - RFI - RFO - RTL -

    = Europe 1 www.europe1.fr
    - Semaine de 18h55 à 20h00 Michel Field
    Chaque jour, du lundi au vendredi, de 18h55 à 20h00, Michel Field “accouche” en direct les auditeurs, sur un thème d’actualité. Sans se contenter du pour et du contre, il les fait dialoguer à plusieurs sur un même sujet. Ils se forgent ainsi eux-mêmes leur opinion comme lors d’un travail journalistique : croiser des sources puis se rendre compte que la vérité est souvent de l’ordre du compromis entre des idées tranchées. C’est aussi une façon de prendre chaque jour le pouls de l’opinion publique sur des sujets lourds et graves mais aussi légers et futiles comme en distille, chaque jour, l’actualité. Pour discuter avec Michel Field, il suffit d’appeler le 01 42 32 14 14 ou d’envoyer un courrier électronique sur www.Europe1.fr.
    - Semaine de 10h30 à 12h00 Jean-Marc Morandini
    Coup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la Télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.

    = RTL www.rtl.fr
    Semaine de 13h00 à 14h00 Pierre-Marie Christin Les auditeurs ont la parole
    Rendez-vous phare de l’information, le 12h30 accueille un nouveau présentateur. C’est en effet Pierre-Marie Christin qui succède à Christophe Hondelatte et Jérôme Godefroy aux commandes du journal de la mi-journée. Pierre-Marie Christin présente ensuite, de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après14H, vous pouvez laisser vos message sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission. Chaque vendredi, cette heure d’expression prend une coloration week-end. Les loisirs sont à l’honneur avec la participation des journalistes spécialisés de la rédaction, ou d’intervenants extérieurs. Et, à la veille du week-end, Louis Bodin dialogue avec les auditeurs sur les phénomènes météo de la semaine écoulée ou des deux jours de repos à venir.

    = France Inter www.radiofrance.fr
    Semaine de 19h20 à 20h00 Le téléphone sonne
    Si vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne...
    - le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h
    - Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir".
    - le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms)
    Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralité

    = RMC www.rmcinfo.fr BOURDIN & Co Le 1er show radio d'info
    Du lundi au vendredi de 6h à 10h.
    Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin & Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min).

Presse


V/ Déclarations et débats CONTRE LA LOI du 23 Février 2005 ("les bienfaits" de la colonisation)

Citoyens et associations d'origine coloniale

La classe politique pour l'abrogation



VI/ Déclarations et débats EN FAVEUR DE LA LOI du 23 Février 2005

VI.A/ Citoyens et associations d'origine coloniale


VI.B/ Milieux de la sociologie ou d'autres activités professionelles


VI.C/ Milieux de l'histoire et de la littérature

VI.D/ La classe politique



VII/ Déclarations et débats CONTRE "L'ECRITURE DE l"HISTOIRE PAR LE PARLEMENT"
  • A DISPATCHER
  • Quelques liens sur ce thème :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9nocide_arm%C3%A9nien_-_Lettre_ouverte_de_l'International_Association_of_Genocide_Scholars
    http://aircrigeweb.free.fr/parutions/generaux/Gen_histtrouee.htm
    http://aircrigeweb.free.fr/parutions/Armenie/Arm_CoquioArmenie.html

    ------------------------
    Colloque les 20/21 mai :
    http://www.bdic.fr/page.php3?id_page=511
    http://www.godf.org/colloque_200506/telechargement/pdf/bio_colloque200506.pdf
    De Nuremberg à La Haye,
    juger le crime contre l'Humanité
    Samedi 20 et dimanche 21 mai 2006
    Lieu :
    Grand Orient de France
    16 rue Cadet 75000 Paris
    Horaires :
    Samedi 20 mai 2006 9 h / 16 h
    Dimanche 21 mai 2006 9h / 14 h
    ------------------
    Sites de références sur le droit international humanitaire :
    http://www.adifinfo.com/liens_fr.html

VII.A/ Citoyens et associations d'origine coloniale


VII.B/ Milieux de la sociologie ou d'autres activités professionelles

VII.D/ La classe politique


VII.E/ Contre la declaration des historiens

  • "Nous revendiquons pour tout un chacun une pleine et entière liberté de recherche et d’expression. Mais il paraît pernicieux de faire l’amalgame entre un article de loi éminemment discutable et trois autres lois de nature radicalement différente. La première fait d’une position politique le contenu légal des enseignements scolaires et il paraît souhaitable de l’abroger. Les secondes reconnaissent des faits attestés de génocide ou de crimes contre l’humanité afin de lutter contre le déni, et de préserver la dignité de victimes offensées par ce déni.

    Ces trois lois ne restreignent en rien la liberté de recherche et d’expression. Quel historien a donc été empêché par la loi Gayssot de travailler sur la Shoah et d’en parler ? Déclarative, la loi du 29 janvier 2001 ne dit pas l’histoire. Elle prend acte d’un fait établi par les historiens – le Génocide des Arméniens – et s’oppose publiquement à un négationnisme d’Etat puissant, pervers et sophistiqué. Quant à la loi Taubira, elle se borne simplement à reconnaître que l’esclavage et la traite négrière constituent des crimes contre l'humanité que les programmes scolaires et universitaires devront traiter en conséquence.


    Le législateur ne s’est pas immiscé sur le territoire de l’historien. Il s’y est adossé pour limiter les dénis afférents à ces sujets historiques très spécifiques, qui comportent une dimension criminelle, et qui font en tant que tel l’objet de tentatives politiques de travestissements. Ces lois votées ne sanctionnent pas des opinions mais reconnaissent et nomment des délits qui, au même titre que le racisme, la diffamation ou la diffusion de fausses informations, menacent l’ordre public.

    L’historien serait-il le seul citoyen à être au-dessus de la loi ? Jouirait-il d’un titre qui l’autorise à transgresser avec désinvolture les règles communes de notre société ? Là n’est pas l’esprit de la République où, comme le rappelle l’article 11 de la déclaration des Droits de l’Homme, "tout citoyen peut parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi".

    Premier signataires : L'avocat Serge Klarsfeld, l'écrivain Didier Daeninckx, le cinéaste Danis Tanovic, l'avocat Alain Jakubowicz
VI.F/ Commentaires sur les historiens
  • Quatre pétitions contradictoires et deux missions concurrentes ; des historiens aussi exaspérés que divisés, des politiques (désormais) attentifs mais très embarrassés ; l'outre-mer meurtri, des Arméniens inquiets, la communauté juive sur le qui-vive : voici le bilan provisoire que l'on peut dresser, dix mois après la promulgation de la loi "portant reconnaissance de la nation et contribution nationale en faveur des rapatriés".



    CHRONOLOGIE

    23 FÉVRIER.

    Promulgation de la loi sur les rapatriés.
    25 MARS.

    "Colonisation : non à l'enseignement d'une histoire officielle" : 6 historiens pour l'abrogation de cette loi.
    9 DÉCEMBRE.

    Création d'une "mission pluraliste pour évaluer l'action du Parlement dans les domaines de la mémoire et de l'histoire".


    12 DÉCEMBRE.

    "Liberté pour l'histoire" : 19 historiens visent les lois du 23 février, du 13 juillet 1990 (dite loi Gayssot), du 29 janvier 2001 (génocide arménien) et du 21 mai 2001 (esclavage).
    20 DÉCEMBRE.

    "Ne mélangeons pas tout" : 32 personnalités contre "l'amalgame entre un article de loi éminemment discutable et trois autres lois de nature radicalement différente".


    Fallait-il que le terreau soit favorable pour qu'un amendement — devenu le célèbre article 4 de cette loi, qui dispose que "les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer" — engendre de telles conséquences ! Nul n'avait pourtant prêté attention au vote de ce texte. Jusqu'à ce qu'une poignée d'historiens, emmenés par Claude Liauzu, Gilbert Meynier et Gérard Noiriel, lancent, dans Le Monde du 25 mars, leur pétition "Colonisation : non à l'enseignement d'une histoire officielle".

    Plus d'un millier de signatures recueillies en moins de trois semaines, une conférence de presse associant la Ligue des droits de l'homme, le MRAP, et la Ligue de l'enseignement : à la mi-avril, la contestation et la polémique prenaient leur rythme de croisière. Elles ne se sont pas apaisées par la suite, il s'en faut de beaucoup.

    Incapable de trancher entre deux mémoires — les rapatriés d'une part, les anciens colonisés de l'autre — dont elle avait réveillé l'antagonisme, la majorité a laissé s'enliser le débat.

    Jacques Chirac s'est ensuite efforcé de gagner du temps et de "noyer le poisson" en annonçant, le 9 décembre, la création d'une "mission pluraliste pour évaluer l'action du Parlement dans les domaines de la mémoire et de l'histoire", confiée au président de l'Assemblée nationale, Jean-Louis Debré. Ce dernier, qui a trois mois pour remettre ses conclusions, n'est pas au bout de ses peines.

    En élargissant le champ d'un débat déjà inextricable à toutes les lois mémorielles votées par le passé, le président prenait le risque de démultiplier les sujets de polémique. Ce risque, qui n'était qu'implicite, est devenu explicite trois jours plus tard. Le 12 décembre, dix-neuf historiens de renom, alarmés par les poursuites judiciaires engagées contre l'un de leurs collègues, Olivier Pétré-Grenouilleau, ont diffusé une pétition réclamant l'abrogation de dispositions législatives contenues dans la loi du 23 février, mais aussi dans les lois du 13 juillet 1990 (dite loi Gayssot, réprimant la négation de crimes contre l'humanité), du 29 janvier 2001 (reconnaissance du génocide arménien) et du 21 mai 2001 (reconnaissance de l'esclavage et de la traite des Noirs comme crimes contre l'humanité).

    Autant de lois, autant de mémoires qui se sont senties remises en question. En ne faisant aucune exception au principe qu'ils défendaient, ces dix-neuf historiens ont privilégié une démarche intellectuellement cohérente. Mais lourde de conséquences politiques. Ces historiens se rassuraient en se disant que leurs préconisations ne seraient pas suivies d'effet et insistaient sur leur volonté de préparer l'avenir (Le Monde du 17 décembre).

    Mais ils n'ont pu empêcher le débat de leur échapper. Le 20 décembre, trente-deux personnalités — historiens, sociologues, avocats, médecins — se sont prononcées contre leur pétition, jugeant "pernicieux de faire l'amalgame entre un article de loi éminemment discutable et trois autres lois de nature radicalement différente", qui "reconnaissent des faits attestés de génocide et de crimes contre l'humanité afin de lutter contre le déni et préserver la dignité des victimes offensées par ce déni".

    Cosignataire de la première pétition contre la loi du 23 février, Gérard Noiriel dénonce également une pétition qui "ne fait qu'aggraver la confusion entre histoire et mémoire, au lieu de clarifier les choses". "Il n'appartient pas aux historiens de régenter la mémoire collective", précise-t-il dans un nouveau texte, également signé par trois autres universitaires, qui rappelle que "la condamnation et, encore plus, la prévention des génocides et des crimes contre l'humanité" sont une "impérieuse nécessité".

    Cette vaste querelle de frontière entre histoire et mémoire pourrait bien prendre un tour plus directement politique au début de l'année 2006. Nicolas Sarkozy semble en effet tenté de profiter de l'embarras dans lequel sont plongés MM. Chirac et Debré. Ayant chargé l'avocat Arno Klarsfeld — fils de Serge Klarsfeld, qui est l'un des 32 signataires du texte diffusé le 20 décembre — d'un "travail approfondi sur la loi, l'histoire et le devoir de mémoire", le président de l'UMP se réserve la possibilité de s'ériger en garant de mémoires qui sont autant de réserves de voix dans la perspective de l'élection présidentielle.

    Dans son entretien à Libération du 23 décembre, M. Sarkozy a déjà suggéré de supprimer l'ambiguïté de l'expression "outre-mer" qui figure dans l'article 4 de la loi du 23 février, ce qui ne répond en rien à la question de principe posée par les historiens, mais qui a pour "avantage" de concilier les voix des départements d'outre-mer et celles des rapatriés (Le Monde du 24 décembre). Le travail qu'il a confié à Me Klarsfeld est un autre geste, dirigé cette fois en direction de la communauté juive. Le dispositif est en place. Il sera opérationnel au moindre "faux pas" de la mission Debré.

    le monde .fr


VIII/ Mémoire(s) de la traite négrière, de l'esclavage et de la colonisation

IX/ Mémoire(s) comparée(s)
du Génocide arm
énien de 1915

X/ Pages et sites www concernés
par l'Information citoyenne sur
le Génocide arménien de 1915 et son déni

à compléter