-
-

-
Quelles origines historiques de l'idéologie nazie de l'Espace vital - "Lebensraum" ?
-

- Discours d'Hitler aux Commandants en Chef, le 22 Août 1939 à Obersalzberg avant d'attaquer la Pologne -

  • - J’ai donc préparé mes Commandos de la Mort avec l’ordre d’envoyer sans pitié et sans merci, les hommes, femmes et enfants d’origine et de langue polonaise à la mort. C'est seulement de cette manière que nous gagnerons l'espace vital dont nous avons besoin. Qui parle encore aujourd’hui de l’extermination des Arméniens ?

  • - So habe ich, einstweilen nur im Osten, meine Totenkopfverbände bereitgestellt mit dem Befehl, unbarmherzig und mitleidslos Mann, Weib und Kind polnischer Abstammung und Sprache in den Tod zu schicken. Nur so gewinnen wir den Lebensraum, den wir brauchen. Wer redet heute noch von der Vernichtung der Armenier ?
-

|

|

|

|

|

|

|

|

|

|

|

|

|

  • La défaite de 1918
    -

  • L'idéologie nazie & l'Espace vital (der Lebensraum)
    - Extraits de Mein Kampf : L'espace vital
    Sur cette Terre, seul un espace suffisamment vaste assure à une nation la liberté d'existence (...). Sans s'embarrasser de traditions ni de préjugés, le mouvement national-socialiste doit trouver le courage de rassembler notre peuple et sa force pour marcher sur la route qui, de son espace vital actuellement restreint, conduira ce peuple à la possession de terres nouvelles (...). Le mouvement national-socialiste doit s'efforcer d'éliminer la disproportion qui existe entre notre population et la superficie dont elle dispose, considérant celle-ci autant comme une source de nourriture que comme base de politique de puissance (...). Il nous faut poursuivre notre but sans faiblir (...), assurer au peuple allemand la terre et le sol ausquels il a droit (...).
    Demander la restauration des frontières de 1914 est une absurdité politique, que ses proportions et son importance semble rendre criminelle, cela soit dit sans même mentionner que les frontières du Reich en 1914 n'étaient réellement ni complètes, en ceci qu'elles n'embrassaient pas toute la population de nationalité allemande, ni adaptées aux besoins géo-militaires. Elles n'étaient pas le résultat d'une action politique raisonnée; elles étaient des frontières provisoires, durant une lutte politique encore éloignée de sa fin (...). Tout aussi justement - et souvent beaucoup plus justement - on pourrait trouver une autre année-échantillon de l'histoire allemande et déclarer que la restauration des conditions alors existantes serait l'objectif à atteindre en matière d'affaires étrangères (...).
    De la sorte, nous autres nationaux-socialistes, nous reprenons la tâche là où elle a été laissée, il y a six cents ans. Nous arrêtons l'interminable exode allemand vers le sud et l'ouest et nous tournons nos regards vers les terres de l'est. Si nous parlons du sol de l'Europe d'aujourd'hui, nous ne pouvons penser en tout premier lieu qu'à la Russie et à ses Etats vassaux limitrophes

    - 1937 : le protocol de Hossbach -

  • 1939-1945 et le Pays de la Warthe
    - - Hitler, Adolf (Mémo)
 
-

-
-