• Plus d'un an après la création de celle sur NetArménie.com, nous pensons y faire état de nouvelles notions importantes

    - que nous manque pas d'expliquer la psychanalyste
    Hélène Piralian.

    - émises par le psychanalyste Gilles Lussac dans son livre et développées dans sa thèse de doctorat sur la transmission et les ruptures de filiations suite au génocide arménien.


  • C'est en particulier le cas du temps qui s'arrête après un génocide tant qu'il n'est pas reconnu. Le temps s'arrête : il y a présentification incessante du passé -un passé qu'on cherche à bloquer dans l'instant fugitif.


  • Les écrits de Madame Sevda Sevan est ainsi un bon exemple qui illustre ce phénomène de présentification du passé.
  • Deux exemples familiaux

    - dont un des grands parents est arménien, mais de milieux sociaux et culturels différents

    - avec des conséquences opposées à travers les générations

    - un cas (assez et très) particulier :
    Costes

    - un cas classique d'affection familiale : Farid

Photos : Ourartou - Peintre : Hagop Hagopian

 


  • Nos anciennes pages "Structure(s) génocidaire(s)" dans le site NetArménie

  • A text in English of Hélène Piralian : The impossible transmission
  • Le dictionnaire analogique, un outil indispensable pour mieux ressentir, discerner et nommer les différentes facettes et phases des structures génocidaires.

à compléter