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Le commerce arménien
Orient-Occident
aux XVII-XVIII siècles
et négoce des tapis d'Orient :
témoignages des voyageurs
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- Il existait non loin d'Ispahan une ville qui avait été
fondée par les Arméniens : Nouvelle-Djoulfa. En effet,
suite aux guerres turco-persanes, l'Empereur Chah Abbas Ier avait déporté
les habitants de toute une province arménienne vers la capitale
séfévide.
- Les marchands arméniens d'Ispahan commerçaient jusqu'en
Occident, étaient en particulier actifs à Marseille où
ils étaient connus sous le nom de "Chofelins".
- Textes d'archives de Richelieu
& Colbert à l'égard des marchands arméniens
d'Ispahan.
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- La Bourse d'Amsterdam étaient aussi fréquentée
par les marchands arméniens de Nouvelle-Djoulfa au point d'être
représentés dans les gravures hollandaises
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- Le tapis étant un objet aisément transportable, dans les actes de commerce des Arméniens dans le négoce de la soie à Amsterdam, on trouve mention de tapis d'Orient. |
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- Des marchands arméniens emportent des tableaux de Rembrandt en Perse.
- Cité dans :
Références :
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céramique arménienne de Nor Djoulfa du XVIII° à
facture persane
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