Présentation et

pour commander

Hommage à Hrant Dink le site du journal AGOS - agos@agos.com.tr
Halaskargazi Cad. Sebat. Apt. No:192 Kat 1 Daire:1 OSMANBEY 80220 İSTANBUL
Tel:+90 212 296 23 64 - 231 56 94 - 219 50 82 . Fax: +90 212 2475519



Les dernières réactions officielles données par le CCAF

( Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France )
Rapport de Joost Lagendijk sur la mission, en tant que représentant du Parlement européen,
relatif aux funérailles du journaliste arménien Hrant Dink à Istanbul

Six heures pour Hrant Dink un apres son assassinat : Rencontre du Samedi 26 janvier 2008 15h-21h
Salle des Fêtes de la Mairie du Xème arrondissement : Programme - Photos

En hommage à Hrant Dink, fenseur de la liberté, de la démocratie, de la paix,
de la fraternité entre les peuples
et artisan du dialogue arméno-turc pour une mémoire collective

E/ Déclarations Hrant Dink à la Presse le 13 juillet 2006

  • Communiqué publié par Hrant Dink au lendemain de la confirmation de son condamnation à six mois de prison (avec sursis) par la Cour de Cassation.

  • Hrant Dink a publié hier un communiqué écrit : « je suis triste, mais je ne suis pas étonné. Car je vis en Turquie et je connais les contradictions et les réalités de ce pays. Je suis victime de la même Cour de cassation qui avait qualifié de « non Turcs » les citoyens de religion différente dans les sentences sur la saisie des biens immobiliers des fondations des minorités en 1971, puis en 1974. Ces sentences décrétaient non seulement que nous, ceux qui avaient une religion différente, étaient des non- musulmans, mais également des « non citoyens ». A ce stade, je me pose la question de savoir dans quelle mesure cette sentence est prononcée au nom de la « société » et dans quelle mesure elle l’a été au nom de « l’Etat ». J’accorde de l’importance à ce point, car la plus importante décision qui peut être prononcée à mon encontre peut l’être par la société.
    Je n’ai pas commis un délit insultant l’identité turque. C’est du racisme que d’insulter une différence et le racisme lui-même est un crime odieux. Ce que nous faisons, c’est justement lutter contre le racisme. L’article 301 et les articles semblables du code pénal devraient être abolis.

    Ma plainte à la CEDH est un droit et une possibilité, toutefois c’est également une source de tristesse. Car je n’ai pas trouvé la justice dans les tribunaux de mon pays. Je m’adresse à la CEDH, car je veux continuer à vivre dans ce pays malgré les injustices et pour lutter contre elles . »