Enjeux politico-sociologiques franco-citoyens non-dits et colatéraux
aux relations juridico-humaines arméno-turques d'une loi pénalisant le négationnisme du génocide arménien.

Texte synthétisant les textes précédents sur ces enjeux non arméno-arméniens

  • Réflexion en cours
  • La loi pénalisant le négationnisme du génocide arménien de 1915 est nécessaire, mais elle ne suffira pas. Il y a tout un travail de Mémoire que les associations franco-turques devront aussi entreprendre auprès de leurs membres : la Turquie ayant été conditionnée par un mensonge d'État pendant 90 ans, niant le crime en glorifiant le kémalisme, une idéologie ultra-nationaliste.

  • Si cette loi pénalisant le négationnisme ne passe pas, les 5 millions de franco-maghrébins qu'on a montrés du doigt au moment du débat sur la laïcité à l'école vont penser qu'il y a deux-poids-deux-mesures à leur encontre. Ce sera alors ressenti comme une grande discrimination envers eux sachant que
    - leurs aïeux ont combattu pour la France pendant les deux guerres mondiales
    - et que ces deux débats qui ne sont certes pas de même nature, sont de moralité très différente.

  • Dans le cas des franco-maghrébins, il s'agissait de comment vivre leur foi religieuse dans le cadre de la laïcité républicaine. Alors que dans le cas turc, il s'agit de pénaliser le négationnisme d'un génocide reconnu par la Loi de la République. Ce qui est beaucoup plus grave moralement. Le Haut Conseil à l'Intégration qui dépend du Premier Ministre, ne se semble pas s'être encore chargé de superviser ce travail de Mémoire auprès des associations turques de France.

Information des députés en leur écrivant à l'Assemblée nationale
avec copies aux autorités morales, politiques et médiatiques de leur circonscription électorale :

Géographies humaines, culturelles, religieuses, politiques et médiatiques
des circonscriptions électorales
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à compléter