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- Chapitre IX -
Génocide arménien de 1915,
témoignages arabes
et séquences
politico-médiatiques
dans le Monde arabe

Traduction automatique (Google)

  • C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux.
  • Faïez El-Ghocein, capitaine de l'armée ottomane et témoin musulman occulaire - Chef bédouin et avocat, a écrit ces pages à Bombay le 4 Zul-Kida 1334. Livre publié : - en français au Caire en 1917 et à Beyrouth 1965 (Imprimerie Donikian)
  • Citation à la page 52 du livre
  • Les massacres en Arménie turque de Faiez El-Ghocein, édité en l'An 1335 de l'Hegire, soit 1917 de l'Ere Chrétienne
  • Deux pages en italien et une photo sur Faïez El-Ghocein : Fayez El Ghossein, un arabo musulmano - 1883-1938

Chérif

Hussaïn ibn Ali

Petite Encyclopédie du Génocide arménien

Témoignage de l'évêque chaldéen catholique du Caire en 1916
tiré du livre d'Arthur Beylerian, page LVI de l'Introduction

  • L'évêque chaldéen catholique du Caire envoyé secrètement en mission dans la région désertique de Syrie et de Mésopotamie, par le service des renseignements britanniques en Egypte, transmet un rapport dont Roux reprend ces quelques lignes à l'intention du Quai d'Orsay : "...A partir de Hadiça, Mgr Abed commence par apercevoir des cadavres, des crânes, des membres détachés et des corps mutilés jusqu'à Deir-ez-Zor. Il estime, sans aucune exagération, que les pertes arméniennes atteignent facilement le chiffre de 500 à 600.000 personnes."
  • Références aux Archives du Ministère des Affaires étrangères : à venir
  • Témoignage n° 170 recueilli par Verjine Svazlian
    Récit de Karoun Andonian, née en 1910 – Moussa Lér

    J'avais 5 ans quand nous avons été déportés. J'étais petite, mais je me rappelle tout ce que nous avons subi.
    Nous avons vécu pendant 4 ans dans les "tchôl" (déserts) arabes. J'avais déjà oublié la langue arménienne, je disais en arabe: "Allah adigoun, khelé aléyna, chekhve khepez adina". C'est-à-dire: un peu de pain, pour l'amour de Dieu, ayez pitié".
    Ma mère était servante chez les Arabes. Moi j'étais soi-disant en train de jouer sous la fenêtre de cette maison, mais j'attendais que maman qui pétrissait la pâte m'en lance une boulette en cachette par la fenêtre. Je la mangeais toute crue, car le pain cuit était calculé tout juste, elle ne pouvait pas m'en donner."
  • D/ Environments occidentaux et efforts pour la reconnaissance du Genocide de 1915 envers les musulmans
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